Lact - Représentant Ecole Palo Alto

Représentant
École de Palo Alto

Centre de formation, intervention et recherche

Approche systémique stratégique et hypnose

 01 48 07 40 40  |  Email :

newsletter AC

Recherche

!!!!! ----> SITE DE DEV <------ !!!!

newsletter AC

Recherche
Claude de SCORRAILLE
Psychologue - systémicienne - chercheuse en santé mentale - clinicienne de la relation - thérapie brève spécialiste en stratégies relationnelles

La violence conjugale ne se résume pas à des actes isolés. Elle s’inscrit dans un système relationnel complexe où s’entremêlent emprise psychologique, cycles de violence et tentatives de solutions inefficaces. Dans une lecture systémique, nous sommes face à un véritable piège relationnel où chaque élément - comportements, émotions, croyances - s’auto-alimente dans une spirale destructrice.

Ce système toxique fonctionne selon une logique propre que la thérapie brève stratégique s’attache à décoder. Car pour en sortir, il ne suffit pas de comprendre intellectuellement ce qui se passe, ni même de “vouloir” s’en extraire. Il faut démonter les mécanismes qui maintiennent la personne prisonnière d’une relation qui la détruit.

violence1

L’emprise : un système relationnel verrouillé

L’emprise constitue le cœur du système relationnel toxique. Elle ne s’installe pas du jour au lendemain mais progressivement, par paliers successifs, jusqu’à créer une véritable prison psychologique. Selon Dufrou et Sorel (2024), ce mécanisme central des violences conjugales mène à une dépendance profonde et à une érosion systématique de l’estime de soi.

Dans son analyse des relations toxiques, Robert Neuburger parle d’une “vampirisation identitaire” où l’agresseur s’approprie progressivement l’espace psychique de sa victime. L’approche systémique stratégique permet de comprendre comment ce processus s’installe par étapes successives :

  1. Phase de séduction et d’idéalisation
  2. Installation progressive de l’isolement
  3. Dévalorisation systématique et humiliations
  4. Alternance entre violence et réconciliation
  5. Inversion de la culpabilité

Ce qui rend ce système particulièrement pernicieux est la façon dont il s’auto-entretient. Les tentatives de la victime pour améliorer la situation (justifications, excuses, efforts pour “faire mieux”) renforcent paradoxalement le système d’emprise. C’est ce que Watzlawick appelle “plus de la même chose” : les solutions tentées deviennent le problème.

Le cycle de la violence : une dynamique prévisible

Le cycle de la violence conjugale suit généralement un schéma identifiable que l’approche systémique a bien documenté. Ce cycle comporte plusieurs phases qui se répètent avec une intensité croissante :

Phase de tension

L’agresseur devient irritable, hostile. La victime tente d’apaiser la situation, marche sur des œufs, s’efface. Cette phase est marquée par une communication paradoxale où tout comportement de la victime peut être interprété négativement.

Phase d’explosion

La violence éclate, qu’elle soit verbale, psychologique, économique, sexuelle ou physique. Dans cette phase, l’agresseur perd tout contrôle apparent, créant un climat de terreur.

Phase de justification

L’agresseur minimise ses actes, rejette la responsabilité sur la victime ou sur des facteurs externes (stress, alcool, etc.). Cette phase est cruciale dans le maintien du système car elle permet de “normaliser” la violence.

Phase de réconciliation ou “lune de miel”

L’agresseur exprime des regrets, promet de changer, multiplie les attentions. Cette phase crée un espoir de changement qui maintient la victime dans la relation. C’est ce que Giulia Rinaldi qualifie de “piège de la victime”, où l’espoir devient paradoxalement l’obstacle principal à la sortie du système toxique.

Ce cycle tend à se raccourcir avec le temps, les phases de tension et d’explosion devenant plus fréquentes, tandis que la phase de réconciliation se réduit ou disparaît.

Les mécanismes de maintien du système toxique

La double contrainte

Le concept de double contrainte, développé par Gregory Bateson, est particulièrement éclairant pour comprendre les mécanismes qui verrouillent la relation toxique. La victime se trouve constamment placée dans des situations où, quoi qu’elle fasse, elle sera en faute :

  • Si elle réagit à la violence, elle “provoque” l’agresseur
  • Si elle ne réagit pas, elle “accepte” la situation
  • Si elle parle, elle “exagère” ou “ment”
  • Si elle se tait, elle est “complice”

Cette communication pathologique crée une confusion mentale qui paralyse la capacité d’action et de décision.

L’isolement progressif

L’isolement constitue un mécanisme central du système d’emprise. L’agresseur travaille méthodiquement à couper la victime de ses soutiens potentiels : famille, amis, collègues. Cette stratégie d’isolement peut prendre des formes subtiles : critiques des proches, création de conflits, déménagements, etc.

Les données montrent que cet isolement est un facteur aggravant majeur : plus la victime est isolée, plus il lui est difficile de sortir du système toxique. C’est pourquoi les interventions thérapeutiques visent en priorité à rétablir des liens sociaux sécurisants.

La distorsion cognitive

Le système relationnel toxique s’accompagne d’une altération progressive de la perception de la réalité. La victime intériorise le discours dévalorisant de l’agresseur jusqu’à douter de sa propre perception des événements. Ce phénomène, proche du gaslighting, constitue une forme de manipulation particulièrement destructrice.

Comme l’explique Claude de Scorraille dans son analyse des relations toxiques au travail, cette distorsion cognitive s’installe progressivement et finit par créer un véritable “brouillard mental” qui empêche la personne de voir clairement sa situation.

Les obstacles à la sortie du système

La peur des représailles

La crainte des représailles constitue un obstacle majeur. Les statistiques montrent que la période de séparation représente le moment de plus grand danger pour les victimes, avec une augmentation significative du risque d’homicide. Cette réalité objective renforce le mécanisme de maintien dans la relation toxique.

La dépendance économique

La précarité économique représente un facteur de vulnérabilité important. L’agresseur utilise souvent le contrôle financier comme moyen d’emprise : restriction d’accès aux ressources, endettement forcé, sabotage professionnel, etc.

La honte et la culpabilité

Les sentiments de honte et de culpabilité jouent un rôle central dans le maintien du système toxique. La victime se sent responsable de la situation et craint le jugement social. Cette inversion de la culpabilité constitue l’un des mécanismes les plus pernicieux de l’emprise.

Les enfants comme “otages relationnels”

La présence d’enfants complique considérablement la sortie du système toxique. L’agresseur peut utiliser les enfants comme moyen de pression, et la victime craint souvent les conséquences d’une séparation sur eux. Paradoxalement, c’est aussi parfois la prise de conscience de l’impact de la violence sur les enfants qui déclenche la décision de partir.

L’approche systémique stratégique : une voie de sortie

L’approche systémique stratégique offre des outils particulièrement adaptés pour intervenir dans ces situations complexes. Contrairement aux approches traditionnelles qui se concentrent sur les causes historiques ou les traits de personnalité, la thérapie brève stratégique s’intéresse à la structure du problème actuel et aux tentatives de solution qui le maintiennent.

Décoder le système pour mieux intervenir

La première étape consiste à identifier précisément le fonctionnement du système relationnel toxique : quels sont les comportements qui le maintiennent ? Quelles sont les tentatives de solution qui échouent ? Quelles sont les croyances limitantes qui empêchent le changement ?

Cette analyse systémique permet d’élaborer une stratégie d’intervention sur mesure, visant à déstabiliser le système plutôt qu’à s’attaquer frontalement à ses symptômes.

Intervenir sur les tentatives de solution inefficaces

L’un des principes fondamentaux de l’approche systémique est que les solutions tentées peuvent devenir le problème. Dans le contexte des violences conjugales, de nombreuses stratégies adoptées par la victime pour améliorer la situation (justifications, excuses, promesses de changement) renforcent paradoxalement le système d’emprise.

L’intervention thérapeutique vise donc à interrompre ces tentatives de solution inefficaces et à introduire des comportements alternatifs qui déstabilisent le système.

Recadrer pour ouvrir de nouvelles perspectives

Le recadrage constitue un outil puissant de l’approche systémique. Il s’agit de proposer une nouvelle lecture de la situation qui ouvre des possibilités d’action jusqu’alors invisibles.

Par exemple, recadrer la “loyauté” envers l’agresseur en “piège relationnel” peut aider la personne à voir sa situation sous un angle nouveau. De même, présenter la sortie du système non comme un “échec” mais comme un acte de courage et de responsabilité peut transformer la perception de la situation.

L’échelle PRS : mesurer les progrès pour renforcer le changement

L’échelle PRS (Problem Resolution Scale) développée par LACT permet de mesurer objectivement les progrès réalisés au cours de l’intervention thérapeutique. Cet outil clinique est particulièrement utile dans les situations de violence conjugale, où les changements peuvent être subtils et progressifs. Cette mesure objective des progrès permet de renforcer la motivation et d’ajuster l’intervention en fonction des résultats obtenus.

Études de cas : quand la thérapie brève ouvre des portes

Le cas de Marie : sortir du piège de la culpabilité

Marie, 42 ans, consulte après 15 ans de relation avec un conjoint violent. Malgré plusieurs tentatives de séparation, elle retourne systématiquement vers lui, convaincue qu’elle peut l’aider à changer et qu’elle est en partie responsable de ses comportements violents.

L’analyse systémique révèle que ses tentatives de solution (discussions, promesses de changement, pardon) renforcent paradoxalement le cycle de la violence. La thérapie se concentre alors sur l’interruption de ces schémas inefficaces et sur le recadrage de sa “responsabilité” envers son conjoint.

En six séances, Marie parvient à modifier sa perception de la situation et à mettre en place des stratégies concrètes pour sortir du système toxique. 

Le cas de Thomas : reconnaître la violence subie

Thomas, 38 ans, ne se considère pas comme victime de violence conjugale. Pourtant, il décrit une relation où il subit humiliations constantes, contrôle financier et isolement social. Sa conjointe le dévalorise systématiquement, mais alterne ces comportements avec des périodes de grande affection.

L’intervention thérapeutique commence par un travail sur la reconnaissance de la violence psychologique, souvent plus difficile à identifier que la violence physique, surtout pour les hommes. Le dialogue stratégique permet à Thomas de prendre conscience des mécanismes d’emprise sans se sentir jugé ou infantilisé.

Progressivement, il parvient à rétablir des limites saines et à reconstruire son réseau social. 

Perspectives thérapeutiques : vers une approche intégrative

L’importance d’une intervention pluridisciplinaire

La sortie d’un système relationnel toxique nécessite souvent une approche pluridisciplinaire. La thérapie brève stratégique peut être utilement complétée par d’autres interventions :

  • Accompagnement social pour les questions pratiques (logement, ressources financières)
  • Soutien juridique pour les aspects légaux (ordonnance de protection, garde des enfants)
  • Groupes de parole pour rompre l’isolement et partager les expériences

Cette approche intégrative permet d’adresser simultanément les différentes dimensions du problème.

L’hypnose conversationnelle comme outil complémentaire

L’hypnose ericksonienne offre des outils précieux pour travailler sur les blocages émotionnels qui peuvent entraver la sortie du système toxique. Les techniques de communication indirecte permettent de contourner les résistances et d’accéder à des ressources internes jusqu’alors inaccessibles.

Comme l’explique Dan Short dans son travail sur l’ambivalence et les émotions, l’hypnose permet d’explorer et de résoudre les conflits internes qui maintiennent la personne dans une position ambivalente face au changement.

La prévention de la récidive

Un aspect crucial de l’intervention concerne la prévention de la récidive. Les recherches montrent que sans accompagnement spécifique, le risque est élevé de reproduire des schémas relationnels similaires dans de futures relations.

L’approche narrative peut également aider la personne à construire un nouveau récit de vie où elle n’est plus définie par son statut de victime mais par sa capacité à surmonter l’adversité. Ce travail sur l’identité narrative constitue un puissant levier de changement durable.

Comme le souligne Julien Betbèze, “l’histoire que nous nous racontons sur nous-mêmes détermine en grande partie nos possibilités d’action future”. Modifier cette narration interne permet d’ouvrir de nouveaux horizons et de prévenir la reproduction de schémas toxiques.

Les mécanismes neurobiologiques de l’emprise

La recherche en neurosciences apporte un éclairage complémentaire sur les mécanismes qui rendent si difficile la sortie d’une relation toxique. Le trauma relationnel provoque des modifications neurobiologiques qui expliquent en partie la difficulté à s’extraire du système d’emprise.

Le trauma bonding : quand l’attachement devient pathologique

Le concept de “trauma bonding” (lien traumatique) décrit l’attachement paradoxal qui se développe envers une personne maltraitante. Ce phénomène s’explique par l’alternance entre stress intense et moments de répit qui crée une dépendance biochimique.

Lors des phases de tension et de violence, le cerveau libère des hormones de stress (cortisol, adrénaline) qui maintiennent la victime en état d’hypervigilance. Lorsque survient la phase de réconciliation, la libération de dopamine et d’ocytocine crée un sentiment de soulagement intense, vécu comme du “bonheur”.

Cette alternance crée un véritable conditionnement neurobiologique comparable à celui observé dans les addictions. Comme l’explique Grégoire Vitry dans son analyse des mécanismes addictifs, “le cerveau devient littéralement ‘accro’ à ce cycle de stress-soulagement, rendant extrêmement difficile la rupture du lien toxique.”

La dissociation comme mécanisme de survie

Face à des violences répétées, le cerveau met en place des mécanismes de dissociation qui permettent de supporter l’insupportable. Cette dissociation, initialement protectrice, devient problématique lorsqu’elle persiste et empêche la personne de percevoir clairement le danger de sa situation.

Les travaux sur les abus sexuels et leurs impacts neurobiologiques montrent comment ces mécanismes de dissociation peuvent persister longtemps après la fin des violences, compliquant le processus de guérison.

L’approche systémique stratégique intègre ces connaissances en proposant des interventions qui tiennent compte de ces réalités neurobiologiques, notamment à travers des techniques de régulation émotionnelle et de reconnexion corporelle.

Les spécificités des violences conjugales selon le genre

Si les femmes constituent la majorité des victimes de violences conjugales graves, les hommes peuvent également être victimes de violences psychologiques et physiques. L’approche systémique permet d’aborder ces situations avec nuance, en tenant compte des spécificités liées au genre sans tomber dans les stéréotypes.

Les obstacles spécifiques rencontrés par les hommes victimes

Les hommes victimes de violences conjugales font face à des obstacles particuliers :

  • Difficulté à se reconnaître comme victime en raison des stéréotypes de genre
  • Crainte d’être ridiculisés ou de ne pas être crus
  • Manque de structures d’accueil adaptées
  • Peur de perdre le contact avec leurs enfants

L’intervention thérapeutique doit tenir compte de ces spécificités en adaptant le discours et les stratégies proposées.

violence2

La dimension transgénérationnelle des violences

L’approche systémique accorde une attention particulière à la dimension transgénérationnelle des violences. Les recherches montrent que l’exposition à la violence pendant l’enfance augmente significativement le risque de reproduire ou de subir des violences à l’âge adulte.

Ce constat ne signifie pas une fatalité, mais souligne l’importance d’un travail thérapeutique qui prend en compte cette dimension. Comme l’explique Robert Neuburger dans son analyse des dynamiques familiales, “comprendre les loyautés invisibles qui nous lient à notre histoire familiale permet de s’en libérer et d’écrire une nouvelle histoire.”

Les nouvelles formes de violence conjugale à l’ère numérique

L’évolution des technologies a fait émerger de nouvelles formes de violence conjugale qui posent des défis spécifiques :

La cyberviolence conjugale

La cyberviolence conjugale comprend diverses formes de contrôle et de harcèlement exercées via les outils numériques :

  • Surveillance des communications (messageries, réseaux sociaux)
  • Géolocalisation permanente
  • Diffusion non consentie d’images intimes
  • Usurpation d’identité numérique
  • Harcèlement post-séparation via les plateformes numériques

Ces formes de violence sont particulièrement insidieuses car elles créent un sentiment d’omniscience de l’agresseur et abolissent les frontières spatiales et temporelles.

L’intervention systémique face aux cyberviolences

L’approche systémique s’adapte à ces nouvelles réalités en intégrant la dimension numérique dans l’analyse du système relationnel. L’intervention thérapeutique inclut des stratégies spécifiques :

  • Sécurisation des outils numériques
  • Identification des modes de contrôle technologique
  • Élaboration de stratégies de protection numérique
  • Recadrage de la “connectivité permanente” comme forme de contrôle abusif

Comme le souligne l’analyse des communications humaines à l’ère numérique, les technologies peuvent amplifier les dynamiques relationnelles toxiques préexistantes, mais offrent également de nouvelles possibilités d’intervention.

La justice restaurative : une approche complémentaire

Au-delà de l’intervention thérapeutique individuelle, la justice restaurative offre des perspectives intéressantes pour traiter les situations de violence conjugale. Cette approche, qui met l’accent sur la réparation plutôt que sur la punition, peut constituer un complément précieux à la thérapie.

Selon Burns et Sinko (2021), les processus de justice restaurative, lorsqu’ils sont correctement mis en œuvre, peuvent offrir aux victimes des espaces de guérison efficaces tout en responsabilisant les auteurs de violences.

L’approche systémique s’articule naturellement avec ces démarches restauratives, car toutes deux s’intéressent aux relations et aux interactions plutôt qu’aux seuls comportements individuels.

Conclusion : reconstruire après l’emprise

Sortir d’un système relationnel toxique représente un parcours exigeant qui nécessite courage, persévérance et accompagnement adapté. L’approche systémique stratégique offre des outils particulièrement pertinents pour comprendre les mécanismes d’emprise et intervenir efficacement.

Au-delà de la simple “sortie” du système toxique, l’enjeu est de reconstruire une vie libérée de l’emprise, où la personne retrouve sa capacité d’action et de décision. Ce processus implique plusieurs dimensions :

  • Restauration de l’estime de soi et de la confiance en ses perceptions
  • Reconstruction d’un réseau social soutenant
  • Développement de nouvelles compétences relationnelles
  • Élaboration d’un nouveau projet de vie

Comme le souligne l’approche systémique, il ne s’agit pas seulement de “réparer” ce qui a été brisé, mais de construire quelque chose de nouveau, en s’appuyant sur les ressources et les compétences que la personne a su développer, parfois à son insu, pour survivre dans un environnement hostile.

Si vous êtes concerné(e) par une situation de violence conjugale, sachez que des professionnels formés à l’approche systémique stratégique peuvent vous accompagner dans ce processus de libération et de reconstruction. Les consultations spécialisées de LACT offrent un espace sécurisant où élaborer des stratégies concrètes pour sortir du système d’emprise et reconstruire une vie libérée.

Car comme le rappelle si justement Robert Neuburger, “la liberté n’est pas l’absence de liens, mais la capacité à choisir des liens qui nous font grandir plutôt que des liens qui nous détruisent.”

Références

Burns, C., & Sinko, L. (2021).  Restorative justice for survivors of sexual violence experienced in adulthood: A scoping review. Trauma, Violence and Abuse, 24(2), 340–354.

de Scorraille, C. et al. (2017). Quand le travail fait mal. InterEditions

Dufrou, J., & Sorel, O. (2024). L’emprise psychologique dans les violences conjugales. Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique, Volume 182, Issue 8, p.  725-734,

Neuburger, R. (2019). Thérapies de couples : Manuel pratique, Payot.

Vitry, G. et al. (2023). Comprendre et soigner les addictions. Dunod.

Vitry, G. et al. (2023). Sortir de l’addiction. Descartes et Cie.

Vitry, G. (2019). Stratégie du changement. Erès.

Vitry, G. et al. (2024). Le grand livre du diagnostic systémique et de l’intervention stratégique, Dunod.

Vitry, G. (2024). Thérapie brève systémique stratégique. De Boeck.

 

Formateurs internationaux

Une équipe de plus de
50 formateurs en France
et à l'international

Satisfaction étudiante

de nos étudiants satisfaits de
leur année de formation à LACT*

Partenariat internationaux

Des partenariats internationaux

Certification Qualiopi

La certification qualité a été délivrée au titre de
la catégorie d’actions suivantes : Action de formation

Formateurs internationaux

Une équipe de plus de
50 formateurs en France
et à l'international

Satisfaction étudiante

de nos étudiants satisfaits de
leur année de formation à LACT*

Partenariat internationaux

Des partenariats internationaux

Certification Qualiopi

La certification qualité a été délivrée au titre de
la catégorie d’actions suivantes : Action de formation

Choix utilisateur pour les Cookies
Nous utilisons des cookies afin de vous proposer les meilleurs services possibles. Si vous déclinez l'utilisation de ces cookies, le site web pourrait ne pas fonctionner correctement.
Tout accepter
Tout décliner
En savoir plus
Unknown
Unknown
Accepter
Décliner
Commercial
Ensemble de techniques ayant pour objet la stratégie commerciale et notamment l'étude de marché.
Google
Accepter
Décliner
Analytique
Outils utilisés pour analyser les données de navigation et mesurer l'efficacité du site internet afin de comprendre son fonctionnement.
Google Analytics
Accepter
Décliner
Functionel
Outils utilisés pour vous apporter des fonctionnalités lors de votre navigation, cela peut inclure des fonctions de réseaux sociaux.
Hotjar
Accepter
Décliner
Sauvegarder